C’EST DUR D’ETRE RICHE ou COMMENT EVITER LES DISPUTES Paracha Korah, Par le Rav Dov Roth-Lumbroso
Chiour sur la paracha Korah donné par Rav Dov Roth-Lumbroso
Chiour sur la paracha Korah donné par Rav Dov Roth-Lumbroso
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Chiour donné par Rav Haim Rozenberg Zal
Kora’h et ses acolytes s’en prennent à Moché rabbénou en l’accusant de s’être emparé du pouvoir et de l’avoir seulement partagé entre son frère Aaron et ses propres compagnons. Moché, celui que la Torah qualifie d’« homme le plus modeste sur terre », est ainsi accusé d’avoir accaparé les rênes du pouvoir.
Au début de la paracha, la Torah fait mention de quatre hommes qui prirent tête de la rébellion contre Moché : « Kora’h fils de Itshar (…) forma une faction avec Datan et Aviram, les fils d’Eliav, et On, fils de Pélet, descendants de Réouven » (Bamidbar 16, 1). Or, lorsqu’on survole les versets suivants de la paracha, on note que l’un d’eux disparaît de ce fâcheux complot : « Parle à l’assemblée et dis-lui : ‘Ecartez-vous d’autour de la demeure de Kora’h, de Datan et d’Aviram… » (verset 24). Qu’advint-il de On ben Pélet ?
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La Révolte de Kora’h, Chiour donné par Rav Dov Roth-Lumbroso
A la fin de la paracha Kora’h, la Torah énumère les différentes offrandes accordées à la tribu des Cohanim, qui s’élèvent au nombre de vingt-quatre. Parmi les sacrifices appelés « Kodech haKodachim », la tribu des Cohanim se voit ainsi attribuer une part sur les bêtes approchées : « Toutes les offrandes dont on Me fera hommage (…) appartiendront à toi [Aharon] et à tes fils » (Bamidbar 18, 9).
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Cours vidéo de Rav Rephael Sadin sur la Paracha de cette semaine, Korah’, ou il traite de la spiritualité dans notre existence.
Après avoir entendu les contestations de Kora’h et de son assemblée de protestataires, Moché leur répondit en cherchant à les calmer : « Demain matin, D.ieu fera savoir qui est digne de Lui », (Bamidbar, 16, 5)
Tandis que la Tora décrit avec force détails la façon dont sont morts les partisans de Kora’h , elle ne dit mot nulle part sur ce que fut la fin de Kora’h lui-même.
C’est la Guemara ( Sanhédrin 110a) qui nous informe sur son sort …