Cours vidéo du Rav H’aim Rozenberg Zal
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Parachat Reeh par le Rav H’aim Rozenberg Zal
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Parachat Reeh par le Rav H’aim Rozenberg Zal
« Garde le mois du aviv, et tu feras Pessa‘h à Hachem, ton Dieu, car au mois du aviv, Hachem, ton Dieu, t’a fait sortir d’Egypte, de nuit » (Devarim 16, 1).
Accepter les paroles de nos Sages n’est pas évident pour tous. Ainsi, certains acceptent volontiers les prescriptions de la Torah, mais éprouvent plus de difficultés à l’égard des décrets rabbiniques.
Rav Yossef de Sloutsk rappelle l’enseignement de la Guemara (Qiddouchin 40b) : « Heureux est celui qui accomplit ne serait-ce qu’une seule mitswa, car il fait pencher la balance de la justice non seulement en sa faveur, mais pour le bien du monde en général ! »
Haftarath Reèh – Oï , quiconque a soif, allez vers l’eau, et qui n’a pas d’argent, allez, achetez et mangez ; et allez, achetez sans argent et sans prix du vin et du lait » (55, 1)
« Or, si vous êtes dociles aux lois que Je vous impose en ce jour, aimant l’Éternel, votre D.ieu, Le servant de tout votre cœur et de toute votre âme. » (Devarim 11, 13). Rachi ajoute : « Un service qui est dans le cœur, à savoir : la prière. »
RÉFLÉCHIR SUR le sens de la justice, c’est forcément poser la distinction entre son application et son fondement. Car on ne saurait parler du bien-fondé de la loi si nous ne pouvions faire référence au point extérieur de la justice qui la commande et lui assure sa légitimité.
Le mot hébreu « éqèv » , que nous avons traduit par « parce que », peut également signifier « talon ». Selon la Michna (Avoth 1, 4), fait remarquer le Hatham Sofèr, la connaissance de la Tora s’acquiert « en s’asseyant à la poussière des pieds [des Sages] et en buvant avidement leurs paroles ».
Dans la paracha de Ekev, Moché s’adresse au peuple hébreu en ces termes : « Écoute Israël, tu franchis à présent le Jourdain (…) rappelle-toi, n’oublie jamais combien tu as mécontenté l’Éternel ton D.ieu, (…) vous vous étiez fait un veau de métal », (Dévarim, 9, 1- 16).
La Paracha Ekev met l’accent sur les valeurs «matérielles » d’Eretz Israël. C’est ainsi que la qualité de son blé et de son orge, de ses raisins et de ses figues, de ses grenades, de ses olives et de ses dattes illustre l’ampleur des bénédictions divines toutes spéciales accordées à cette terre.