« Quand le détail devient l’essentiel ou Le miracle à mettre en valeur » par Rav Haim Chmoulevitz
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz
Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Éditions Olam Hassefer
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz
Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Éditions Olam Hassefer
Depuis « l’Onirocriticon », oeuvre d’Artémidore d’Éphèse du IIe siècle qui se livre à une étude quasi-scientifique des rêves, jusqu’à « L’Interprétation des rêves » de Sigmund Freud – pour qui le songe est une manifestation de l’inconscient -, l’activité onirique de l’homme n’a jamais cessé de susciter la curiosité,
À son retour de chez Laban, et après sa fameuse rencontre avec son frère Essav, Yaacov s’installa enfin en Eretz Israël après qu’Essav a quitté le pays.
Ya‘aqov demeura dans le pays des séjours de son père, dans le pays de Canaan. (37, 1)
Nous savons depuis longtemps, selon ce que nous avons lu dans le livre de Beréchith, que Yits‘haq …
Au coeur de l’histoire de Yossef vendu par ses frères et amené en Égypte, la Torah opère une digression pour nous relater l’histoire de Yéhouda et de Tamar, de qui naquit la dynastie de David et sa royauté.
Dans son introduction à cette paracha, le Ramban écrit que nos Sages l’ont toujours considérée comme une préfiguration des futures expériences des Juifs dans l’exil.
L’avant-dernier verset de cette haftara nous promet que « les exilés de cette armée des enfants d’Israël [posséderont] ce qui appartenait aux Cananéens jusqu’à Tsarfath, et les captifs de Jérusalem, qui [avaient été] à Sefarad, posséderont les villes du midi » ( Ovadia 1, 21) .
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz, Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Les commentateurs s’interrogent sur la répétition que contient ce verset : étant donné que Ya’aqov n’avait qu’un seul frère, pour quelle raison précisa-t-il dans sa prière « de la main de ‘Essav » après avoir déjà déclaré « de la main de mon frère » ?
De manière générale, nos Maîtres fustigent la moquerie. Si la joie et la gaieté sont de bons outils pour servir Hashem pleinement, la moquerie a le pouvoir satanique de briser toute solennité et révérence. Comme l’écrit le Shevet Moussar, ‘une petite moquerie l’emporte contre 100 reproches fondés !’