Savoir donner aux autres l’exemple du bien
Un épisode bien connu de la Torah nous raconte dans quelles conditions les soldats d’Israël devaient se rendre au combat.
Un épisode bien connu de la Torah nous raconte dans quelles conditions les soldats d’Israël devaient se rendre au combat.
Les professeurs arabes sont de plus en plus nombreux à enseigner dans les écoles juives : leur nombre a augmenté de 40% en trois ans.
La foi que l’on accorde à des témoins comparaissant devant un Tribunal rabbinique est le garant d’une justice droite et équitable. La règle des « édim zomémim », évoquée dans notre paracha, s’inscrit dans la droite ligne de ce principe
L’une des obligations particulières au roi d’Israël consistait dans l’écriture d’un livre de la Torah : « Quand il occupera le siège royal, il écrira pour son usage, dans un livre, une copie de cette Torah, en s’inspirant des Cohanim, descendants de Lévi. Elle restera par devers lui car il doit y lire toute sa vie, afin qu’il s’habitue à révérer l’Eternel son D.ieu, qu’il respecte et exécute tout le contenu de cette Doctrine et les présents statuts » (Dévarim 17, 18-19).
La Torah stipule que lorsqu’une personne tue autrui par inadvertance, elle doit aller « s’exiler » dans l’une des villes de refuge. En effet, du « vengeur de sang » – un proche parent de la victime – avait l’autorisation de tuer le meurtrier, tant qu’il ne s’était pas réfugié dans l’une de ces villes.
« Tu iras trouver les prêtres, descendants de Lévi, ou le juge qui siégera à cette époque. Tu les consulteras et ils t’éclaireront sur le jugement à prononcer » (Dévarim 17, 9). Rachi commente : « ‘Le juge qui siégera à cette époque’ – même s’il n’est pas aussi compétent que les juges qui l’ont précédé, tu dois lui obéir. Tu ne dois t’en remettre qu’au juge vivant à ton époque ! »
La paracha Choftim s’ouvre sur ces mots : « Tu institueras des juges et des magistrats dans toutes les villes que D.ieu te donnera. (…) Ne fais pas fléchir le droit, n’aie pas égard aux considérations personnelles, et n’accepte pas de présent corrupteur (…). Ne plante pour toi aucun arbre d’Achéra ni aucun arbre auprès de l’autel que tu dresseras pour le Nom, Ton D.ieu. N’érige pas pour toi de statue, chose odieuse au Nom, Ton D.ieu. N’approche pas en sacrifice un taureau ou un mouton qui aurait un défaut », (Devarim, 16, 18-22).
A peine sommes-nous sortis de la période de deuil des Trois semaines, que nous sommes précipités dans une atmosphère de réconfort et de consolation. Comme si le peuple juif se dévêtait d’un habit, pour en revêtir un autre aussitôt après.
C’est dans la paracha de Vaét’hanan qu’apparaît l’un des textes fondamentaux du credo juif : le Chema Israël. L’occasion pour nous de revenir sur ces versets par lesquels nous déclarons quotidiennement les grands principes de notre émouna.
Une semaine à peine après la triste journée du 9 av , commémoration des grandes catastrophes qui se sont abattues sur notre peuple au cours de siècles, nous voici voguant à nouveau dans les eaux calmes d'une date de fête, celle du 15 av .
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