Un rapport du contrôleur de l?état

La gestion de la Tombe de Rabbi Chimon Bar Yo’haï est déplorable

Ceux qui se sont recueillis, ces dernières années, sur la tombe de Rabbi Chimon Bar Yo’haï à Méron n’ont pas manqué d’être frappés par l’état précaire de ce lieu saint fréquenté, chaque année, par plus d’un million et demi de personnes. Un rapport du contrôleur de l’État confirme les carences existantes et propose d’améliorer au plus vite la situation.

MIKETS : Parachat et Haftara

 Parachath Miqets : Dina, sœur et belle-mère de Joseph

« Pharaon appela Joseph Tsafenath-Pa’néa‘h, il lui donna pour femme Asnath, fille de Poti Fèra’, prêtre d’On » ( Berèchith 41, 45).

Asnath était, comme le rapporte le rabbin Elie Munk ( La voix de la Thora , vol. I p. 424 ) citant le Targoum Yonathan , la fille que Dina, fille de Jacob, avait eue de Sichem qui l’avait violentée. Plusieurs sources midrachiques (et notamment Pirkei de-Rabbi Eliézer , c. 38) donnent le récit suivant, avec quelques variantes : Lorsque la fille de Dina revint à la maison paternelle, les fils de Jacob ne purent supporter parmi eux la présence de cette fille du péché et leur attitude devint menaçante. Jacob lui fit alors une amulette portant l’inscription : Asnath, fille de Dîna, fille de Jacob. ( Asnath , dérivé de anas , fille de la violence). Il attacha l’amulette à un collier qu’elle porta désormais à son cou et il la renvoya de sa maison. Elle partit et elle arriva en Egypte, où elle fut recueillie, en raison de sa grande beauté, dans la maison de Putiphar. Elle y fut élevée et finalement adoptée, car Putiphar était sans enfant, et on l’appela : fille de Putiphar. Joseph l’y rencontra plus tard, sans soupçonner son origine.

Le calendrier des pompiers !


A TEMPORALITÉ juive scandée autour des « rendez- vous » que nous lui connaissons n’a rien d’une Histoire comme nous l’entendons communément aujourd’hui. Même si chaque date du calendrier hébraïque est là pour nous rappeler des évènements historiques qui se sont effectivement passés, le temps juif est avant tout un appel à la mobilisation de notre conscience et de notre responsabilité face à la temporalité certes, mais entendue cette fois-ci comme dévoilement – ou parfois au contraire comme voilement – de la Présence divine dans le monde.