Les 4 Parachiot, de Pourim a Pessah

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Comprendre les 4 Parachiot, cours vidéo du Rav Dov Roth-Lumbroso. Cette semaine nous lisons la dernière des 4, Parachat Hah’odech, à l’occasion de Roch h’odech Nissan, qui tombe ce Chabat cette année. L’occasion de comprendre le lien entre cette lecture et la fête de Pessah’.

Omer : Une période de deuil

La période comprise entre Pessah et Chavouoth , appelée Omèr , est marquée, on le sait, par des pratiques proches de celles du deuil.
C’est ainsi, par exemple, que l’on ne fréquente pas les salons de coiffure et que l’on ne célèbre pas de mariages ( Choul’han aroukh , Orah ‘hayim 493).

La période du Omer : Des jours lumineux !

Comme nous l’avons expliqué la semaine dernière, la période du décompte de l’Omer qui nous conduit jusqu’à Chavouot – le jour du don de la Torah – se différencie de la fête de Pessa’h en cela que, lors de la Sortie d’Egypte, le peuple hébreu ne fut pas sauvé du joug égyptien en vertu des ses propres mérites, mais pour ainsi dire, par la grâce du Ciel : c’est-à-dire par la seule intervention miraculeuse de D.ieu dans l’Histoire.

Question : Doit-on s’enivrer à Pourim ?

Est on vraiment obligé de boire à Pourim jusqu’à l’ivresse? Le peuple juif a toujours manifesté de la répulsion envers l’ivrognerie, de nombreuses sources en témoignent. Et pourtant, nous apprenons dans la Guemara : « Un homme a l’obligation libesoumei à Pourim jusqu’à ne plus savoir ( ad de-lo yada’ ) [la différence] entre : « Maudit soit Haman ! » et : « Béni soit Mardochée ! » ( Meguila 7b).