La période du Omer : Des jours lumineux !

Comme nous l’avons expliqué la semaine dernière, la période du décompte de l’Omer qui nous conduit jusqu’à Chavouot – le jour du don de la Torah – se différencie de la fête de Pessa’h en cela que, lors de la Sortie d’Egypte, le peuple hébreu ne fut pas sauvé du joug égyptien en vertu des ses propres mérites, mais pour ainsi dire, par la grâce du Ciel : c’est-à-dire par la seule intervention miraculeuse de D.ieu dans l’Histoire.

Question : Doit-on s’enivrer à Pourim ?

Est on vraiment obligé de boire à Pourim jusqu’à l’ivresse? Le peuple juif a toujours manifesté de la répulsion envers l’ivrognerie, de nombreuses sources en témoignent. Et pourtant, nous apprenons dans la Guemara : « Un homme a l’obligation libesoumei à Pourim jusqu’à ne plus savoir ( ad de-lo yada’ ) [la différence] entre : « Maudit soit Haman ! » et : « Béni soit Mardochée ! » ( Meguila 7b).