Cours du Rav Itshak Assouli : Omer et LagBaomer
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Cours du Rav Itshak Assouli: » Omer et LagBaomer «
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Cours du Rav Itshak Assouli: » Omer et LagBaomer «
Ce géant parmi les Tanaims est né en Erets Israël, au Ier siècle. Il fait partie de la 3 ème génération des Tanaims. Fils d’un converti nommé Joseph, Rabbi Akiva est, jusqu’à ses 40 ans, un paysan, profondément pieux mais totalement ignorant.
Le Tour enseigne : « Il est de coutume de ne pas se marier entre Pessa’h et Atsérèt [Chavouot]. La raison en est qu’on ne multiplie pas les manifestations de joie, car c’est pendant cette période que décédèrent les élèves de rabbi Akiva » (Ora’h ‘Haïm, 493). Une décision halakhique tirant son origine d’un passage du Traité talmudique Yévamot (p.62/b) où il est enseigné que rabbi Akiva avait 24 000 élèves qui, tous, moururent pendant une seule et même période (béPérèk é’had), parce que, explique la Guémara : « ils ne s’étaient pas comportés avec "respect" les uns envers les autres – lo nahagou kevod zé lazé ».
La parachath Emor contient, entre autres mitswoth, celle de la supputation du ‘Omèr : « Vous compterez pour vous, du lendemain du chabbath… »(Wayiqra 23, 15). Pourquoi, s’agissant d’une mitswa qui se renouvelle chaque année, ne récitons-nous pas la berakha Chéhé‘héyanou ?
Pourquoi la mort des 24 000 élèves ?
A moins d’une semaine de Lag BaOmer, les préparatifs battent leur plein à Méron, en Galilée, où on attend, comme chaque année, des dizaines de milliers de personnes.
Quel est le din quand un enfant est né pendant le Omer. Doit-il compter le Omer avec Braha ou sans Braha ? cours du Rav Daniel Abdelhak. [youtube id= »q26eOq260sk » width= »358″ height= »202″ autoplay= »no » api_params= »rel=0&modestbranding=1″ class= » »][/youtube]
Le chant de Bar Yohaï , en honneur surtout dans les communautés séfarades et Hassidiques, a été composé par Rabbi Chimon Lavia. Celui-ci, expulsé d’Espagne avec sa famille en 1492, s’est établi à Fès, au Maroc, où il est devenu un éminent kabbaliste. En 1549, il entreprit de se rendre en Erets Yisraël . Il se rendit cependant compte, lorsqu’il arriva à Tripoli, aujourd’hui capitale de la Lybie, de l’ignorance en Tora des Juifs de cette ville.
Le jour de Lag Baomer sur le tombeau de Rabbi Chimon Bar Yohai, l’ambiance est extatique ! Des milliers de personnes se déplacent pour ces festivités et pour cette concentration de prière et de recueillement, source d’innombrables délivrances. Envoyez vos noms à contact@chiourim.com, et le Rav Dov Roth-Lumbroso priera pour vous, par le mérite de votre Tsédaka.
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Le Rav Shmouel Eliahou, fils du Rav Mordehaï Eliahou Zatsal et grand rabbin de Tsfat (Safed), a raconté au site d’Aroutz Shéva en hébreu comment son père célébrait cette fête chaque année, évoquant ses propres souvenirs d’enfance.