30 roquettes sur Israël pendant Chabbat
Les habitants du Sud d’Israël traversent une nouvelle période très difficile avec les tirs incessants de roquettes provenant de la bande de Gaza.
Les habitants du Sud d’Israël traversent une nouvelle période très difficile avec les tirs incessants de roquettes provenant de la bande de Gaza.
« Israël pionnier dans le développement des technologies vertes, pour un monde meilleur ». C’est le slogan adopté par la chaîne télévisée américaine CNN qui a invité des météorologues israéliens à présenter dans ses studios, pendant une semaine, leurs prévisions atmosphériques dans le cadre d’une nouvelle campagne visant à souligner le rôle prédominant de l’Etat juif dans ce domaine.
Le Rav Acher Anchel Schwartz, directeur des institutions Satmar de Jérusalem, est décédé pendant Chabbat des suites d’une grave maladie dont il souffrait depuis deux longues années.
Chirurgien réputé et supporter acharné de la cause palestinienne, le professeur Christophe Oberlin a fait plancher ses étudiants en médecine sur les supposer "crimes" de l’État hébreu. Une enquête administrative a été ouverte contre ce proche du Hamas.
Depuis mercredi matin, plus de 70 roquettes et obus de mortier, tirés par des Palestiniens de la bande de Gaza, se sont abattus sur le Sud d’Israël.
Le Premier ministre turc a du se frotter les mains mercredi dernier en prenant connaissance, par le biais d’une presse israélienne toujours très critique et négative des conclusions du rapport du contrôleur de l’État sur les événements du Mavi Marmara, le 31 mai 2010.
Des inconnus ont profané, dans la nuit de jeudi à vendredi, une synagogue de la localité de Maor (conseil régional de Menaché), située dans le Nord d’Israël près de la ville de Hadéra.
Deux jeunes gens ont été présentés et leur chiddouh semblait être en bonne voie. Le jeune homme étudie à la Yechivat Hévron, à Jérusalem, et la jeune fille, dans un séminaire de Bné Brak.
Plus de 60 ans après la Seconde Guerre mondiale, la question des biens juifs qui n’ont pas été restitués aux descendants des victimes de la Shoah suscite encore de graves polémiques.
L’histoire d’Alexander Yabisebitz est assez singulière. Né il y a une cinquantaine d’années à Gomel, en Biélorussie, il vivait à New York, aux Etats-Unis, et travaillait comme programmateur dans un bureau situé dans l'une des deux tours jumelles de Manhattan.
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