Chant de Bar Yohai en l’honneur de Lag Baomer
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En nous offrant le Chabbath et l’année sabbatique, D.ieu nous donne l’occasion d’accéder à une compréhension métaphysique du monde, et de ressentir une sensation unique : une confiance absolue, qui se passe de toute question?
La Paracha Emor énumère en détail les fêtes juives, parmi lesquelles celle de Souccot : « Vous demeurerez dans des souccot durant sept jours ; tout citoyen en Israël demeurera sous la soucca », (Vaykra, 23, 42). L’illustre Alchikh Hakadoch explique dans son commentaire sur la Torah ce qui semble apparaître comme une « redondance » dans ce verset.
Cette haftara, qui définit ce que sera le rôle des kohanim dans le futur troisième Temple, contient un verset qui présente une anomalie scripturale (qeri kethiv)
Pourquoi cette section qui a trait aux lois sacerdotales fait-elle directement suite à l’interdiction de consulter un évocateur (ov) ou un faiseur de sortilèges (yid‘oni) – formulée dans le dernier verset de la paracha précédente ?
La fin de la parachath Emor est marquée par un événement grave : Un homme est sorti du camp des enfants d’Israël et a blasphémé contre Hachem. Sa punition sera très sévère : Condamné à mort, il sera lapidé (Wayiqra 24, 14).
Cours audio de Rav Daniel Abdelhak pour comprendre la Mitsva d’aimer notre prochain comme soi-même, par le Rav Daniel Abdelhak. [youtube id= »-KPyy3mRtvY » width= »358″ height= »202″ autoplay= »no » api_params= »rel=0&modestbranding=1″ class= » »][/youtube]
C’est un véritable crève cœur. Tous ces visages pourraient être ceux de nos grands-pères et grand-mère revenus de l’enfer. Tous sont à présent tailladés de coups de couteau, découpés ou tagués de l’infâme croix gammée, en pleine rue de Vienne.
Iliyash (Eliahou) Petrushko, né à Varsovie en 1915, est le seul rescapé de sa famille qui a été massacrée par les Nazis. Son histoire incroyable nous est relatée dans un reportage de la télévision israélienne.
Nos Sages enseignent dans la Michna : « Même l’homme le plus pauvre du peuple d’Israël ne mangera pas sans être accoudé, et il ne disposera pas de moins de quatre verres de vin ». Or pour tous les maîtres de nos générations, cette assertion constituait une règle de conduite élémentaire !
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