A priori, tout le monde connaît l’histoire de ‘Hanouka : la victoire des faibles contre les forts, l’inauguration du Temple souillé par les Grecs, le miracle de la fiole d’huile… Mais qu’en est-il du contexte historique de ‘Hanouka ?
La paracha Mikets commence par un verset qui évoque deux événements, apparemment sans rapport l’un avec l’autre, le fait que deux années s’étaient écoulées depuis le rêve de l’échanson, et celui de Pharaon. Pourquoi la Torah les relate-t-elle dans un seul et même verset ?
Si la fête des lumières porte le nom de ‘Hanouka, c’est parce qu’une nouvelle « inauguration » du Temple de Jérusalem eut lieu à cette période. Il est néanmoins indéniable que cette fête recèle également d’édifiants messages relatifs à l’éducation [‘hinou’h].
En ce mois de kislev¸ tentons de cerner ce que nous nous apprêtons à commémorer lors de la fête de ‘Hanouka.
Elle a été fixée en souvenir du miracle de la fiole d’huile d’olive pure qui a brûlé huit jours au lieu d’un, et qui a ainsi laissé le temps d’en préparer une nouvelle pour l’allumage de la menora (Chabbath 21b).
Nous savons depuis longtemps, selon ce que nous avons lu dans le livre de Beréchith, que Yits‘haq a vécu en Canaan. Pourquoi alors est-il nécessaire de nous préciser ici que « le pays des séjours du père [de Ya‘aqov] » était « le pays de Canaan » ?
Yossef donna une interprétation assez macabre au rêve du maître panetier dans lequel ce dernier voyait des oiseaux picorer sa corbeille pleine de produits de boulangerie… Sous trois jours, lui prédit Yossef, il sera pendu et les oiseaux viendront becqueter sa chair. Or, quels sont les signes qui ont pu donner cette intuition à Yossef ?
Peu avant son décès, Yaacov rassembla ses douze fils et leur offrit une bénédiction, inspirée par l’Esprit divin, qui se perpétuerait à travers les générations.
Peu après que Yaacov revint s’installer dans la terre de ses pères, une douloureuse épreuve le frappa de plein fouet : Dina fut prise de force par un prince du pays, Chekhem fils de ‘Hamor.
Peu avant la rencontre cruciale qui devait réunir Yaacov et Essav après de longues années de séparation, le patriarche adresse une prière à D.ieu. Il L’implore de le sauver de la menace que représente son frère.
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