C’était à prévoir : après l’engouement des premiers jours et les condamnations sans appel, les pays occidentaux hésitent à présent à franchir le pas et à engager une action militaire contre le régime syrien, accusé d’avoir utilisé des armes chimiques contre sa population.
Cela fait exactement quatre vingts ans que le Hafetz Haïm, Rav Israël Meir Kagan zts’l, s'est éteint à l’âge de 95 ans. D’une grande notoriété dans le monde juif orthodoxe, son enseignement est encore largement suivi et il figure parmi les autorités religieuses les plus respectées du vingtième siècle.
Sept organisations pro-palestiniennes, réunies en confédération, ont lancé cette semaine une campagne anti-israélienne dans les transports publics de Vancouver, au Canada.
Elles étaient plus de 3000 ce mercredi soir dans le site antique de Shilo en Samarie pour une prière collective qui devait les préparer aux fêtes de Tichri. La Rabbanit Yemima Mizrahi, très populaire en Israël, a expliqué à l’assistance l’importance de l’endroit où avait lieu ce rassemblement.
Suite à la crise en Syrie, les Israéliens affluent dans les centres de distribution de masques à gaz. Mais cette agitation est-elle justifiée ?
Alors que tout le monde parle de l’imminence d’une attaque des alliés occidentaux contre la Syrie, accusée du massacre de sa population civile à l’arme chimique, on apprend que le président américain Barack Obama n’a toujours pas pris de décision dans cette crise.
L’attaque contre la Syrie, accusée de massacrer sa population à l'arme chimique, semble à présent inéluctable. De son côté, le gouvernement de Damas multiplie ses menaces en devenant de plus en plus virulent.
L’opération « Ailes de Colombe », lancée en novembre 2010 par l’Agence Juive et le ministère israélien de l’Intégration, s’achève avec l’arrivée à l’aéroport Ben Gourion d’un dernier vol en provenance de Gondar : près de 450 nouveaux immigrants originaires d’Ethiopie sont accueillis ce mercredi en Israël.
Les médias israéliens annoncent déjà le compte à rebours. L’option d’une intervention militaire en Syrie des forces américaines et de leurs alliés, français et britanniques, semblerait désormais inéluctable.
L’ancien gouverneur de la Banque d’Israël Stanley Fischer serait-il le meilleur candidat au poste de président de la Banque centrale américaine ? Un chroniqueur du Washington Post le pense mais Fischer ne figure pas parmi les personnes pressenties.
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