Les femmes et la sortie d’Egypte



Pourquoi les femmes doivent-elles
aussi boire les quatre coupes de vin du Séder ?

Au début de « Arvé Pessa’him » – le dernier chapitre du Traité de Pessa’him – la Michna exige des gabaïm –
responsables de la tsédaka – de veiller à ce que tous les pauvres reçoivent une somme d’argent suffisante
pour accomplir la mitsva des quatre coupes de vin au soir du Séder de Pessa’h…

Effectivement, le déroulement
du Séder pascal exige la dégustation
de quatre coupes de
vin : la première est celle du kidouch de ce jour de fête (Yom tov),
la deuxième vient à la fin de la première
moitié du Hallel, la troisième
est celle du Birkat Hamazone, la
dernière venant après les cantiques
qui suivent la fin du Hallel.

Vingt mille lieues sous les mer



NOUS SAVONS
que les océans
recouvrent près de
70 % de notre planète
et que non seulement des abîmes,
mais aussi des fosses
océaniques profondes parfois
de plus de 10 000 mètres forment
un « territoire » resté depuis
toujours en grande partie
inexploré… Que ce soient
la présence de gaz hydratés
– qui prennent l’allure de véritables
cristaux semblables à
de la glace -, les tempêtes ou
les avalanches sous-marines,
ou encore ces courants étroits
(les fameux « effets de cheminée
») susceptibles d’emporter
l’eau de la surface en l’espace
de quelques instants à plus
de 2 kms de profondeur, les
fonds marins restent en grande
partie aujourd’hui encore
une véritable énigme…

VAYIGACH

Le Midrach (Beréchith Rabba 93, 6) rapporte ce que Yehouda a dit à Yossef : « Il est écrit dans nos codes que si un homme ayant commis un vol ne possède pas de quoi restituer, on réunit les fonds nécessaires pour le remboursement en le vendant comme esclave.

Cause et effet

La paracha Mikets commence par un verset qui évoque deux événements, apparemment sans rapport l’un avec l’autre, le fait que deux années s’étaient écoulées depuis le rêve de l’échanson, et celui de Pharaon. Pourquoi la Torah les relate-t-elle dans un seul et même verset ?