Miroir, Miroir!

Les nombreux ustensiles dont fut muni le Tabernacle pour les besoins du service sacerdotal furent essentiellement confectionnés à partir de l’or, de l’argent et du cuivre. Exception faite : le « kiyor » – ce grand récipient d’eau par lequel les Cohanim procédaient à la purification des mains et des pieds – fut quant à lui fabriqué avec des miroirs !

Donner son coeur…

Dès le 11 Tishrei, le lendemain de la réception des deuxièmes Tables de l’Alliance, Moshé Rabbeinou ordonne la construction du Beit haMikdash. Les Bnei Israël s’investissent avec un zèle extraordinaire pour réaliser ce projet, qui symbolisera le pardon de la faute du veau d’or lorsque la Shekhina d’Hashem résidera en notre sein.

Amalek à en perdre la tête…

Dans la bouche de Bilaam, le prophète de mauvais augure délégué par le roi Balak, la nation d’Amalek est qualifiée en ces termes: « Amalek est à la tête des peuples». Or, cette désignation de « Réchit » – qui évoque à la fois la tête, le commencement et l’éminence d’un peuple – s’avère être le caractère propre d’Amalek et précisément ce qui le conduit tout droit à sa perte…

Petit à ses yeux, un problème ?

Dans la haftara de la Parachat Zah’or que nous allons lire cette semaine (I Samuel, chap. 15) retrace la victoire remportée par le roi Saül sur Amaleq, ainsi que les reproches qu’il a essuyés au nom de Hachem de la part du prophète Samuel pour avoir épargné son roi, Agag, de même que sa population et ses biens.
Ces reproches vaudront à la dynastie de Saül d’être détrônée au profit de celle de David.