Le secrétaire général de l’Onu Ban Ki-moon a déjà annoncé que l’Autorité palestinienne allait rejoindre, le 1er avril prochain, la Cour pénale internationale (CPI). Mais les USA ne l’entendent pas de cette oreille.
La France est sous le choc après l’attaque meurtrière contre le journal satirique Charlie Hebdo. Les autorités ont pris des mesures sans précédent, déployant notamment des policiers sur tout le territoire.
La première vague de froid de l’année qui a envahi Israël semble à présent se dissiper. La neige, encore présente, va progressivement disparaître.
Le président de l’Etat d’Israël Ruby Rivline et son Premier ministre Binyamin Netanyahou ont adressé leurs condoléances au peuple français après le terrible attentat perpétré dans les locaux du journal satirique Charlie Hebdo, à Paris.
L’attaque meurtrière perpétrée ce mercredi dans les locaux de Charlie Hebdo à Paris a suscité des réactions scandalisées dans le monde entier. En Israël, on dénonce également cet acte odieux.
Deux terroristes cagoulés et lourdement armés ont fait irruption dans les locaux du journal satirique de gauche Charlie Hebdo dans le 11e arrondissement de Paris, munis d’un fusil Kalachnikov et d’un lance-roquette, et ont perpétré un véritable massacre.
Le Rav Shalom Cohen, président du Conseil des Sages de la Tora de Shass, observe une semaine de deuil suite au décès de sa sœur, la Rabbanit Shoulamit Hemed z’l.
Cela fait une semaine que les médias israéliens préparent la population à la « grande tempête ». Et ce mercredi matin, les premiers flocons blancs ont fait leur apparition dans le Nord du pays, dans le Golan et en Haute Galilée, où les écoles ont fermé leurs portes et la police a fermé les routes à la circulation.
Comment régler les dissensions qui déchirent actuellement le monde orthodoxe séfarade ? Les dirigeants ashkénazes peuvent-ils, ou veulent-ils, s’atteler à la tâche pour tenter de réparer les dégâts causés par la crise qui a secoué Shass ? Ou faut-il de l’aide de l’extérieur ?
C’était un Rosh Yeshiva plutôt atypique. Le Rav Pinhas Elimeleh’ Rones, décédé subitement à l’âge de 54 ans, se préoccupait des jeunes rejetés des structures scolaires orthodoxes traditionnelles pour faciliter leur réinsertion.
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