La décision de l’Union européenne concernant l’étiquetage de certains produits israéliens n’est pas suivie par tous les Etats qui en sont membres. La Hongrie, par exemple, a décidé de ne pas suivre ses directives.
Une jeune jardinière d’enfants, Ayala Rosenberg, est décédée subitement pendant son travail dans une crèche privée du quartier orthodoxe de la ville d’Ashdod.
La petite Tahel Sofer, 3 ans, sérieusement blessée par une bouteille incendiaire, a pu rentrer chez elle. Elle a quitté l’hôpital Hadassah Ein Kerem et son état est satisfaisant.
Il y a tout juste un an, des terroristes pénétraient dans la synagogue Bné Tora d’Har Nof à Jérusalem et massacraient cinq fidèles en prières portant Talit et Tefilin. Au cours de l’intervention des forces de l’ordre, un policier druze, Zidan Sif, a été frappé à mort alors qu’il éliminait les meurtriers et sauvait des vies humaines.
Plus d’un millier de personnes ont assisté samedi soir aux obsèques du Rav Litman, 40 ans, et de son fils Netanel, 18 ans, assassinés vendredi après-midi par des terroristes sur une route du Har Hévron, près de la localité d’Othniel.
Les attaques meurtrières perpétrées en France vendredi soir qui ont causé la mort de 129 personnes et fait plus de 300 blessés sont durement ressenties dans la communauté juive de France et chez les Français résidant en Israël.
Après un combat acharné des fidèles de la synagogue Ayelet Hashahar de Guivat Zeev pour empêcher sa destruction, une solution de compromis semble avoir été trouvée entre les partis en litige, permettant de régler la question à l’amiable.
La lutte contre le terrorisme passe par une législtation plus forte et plus efficace. C'est ce que pense le ministre israélien de la Défense Moshé Yaalon. Invité à réagir aux attaques perpétrées vendredi à Paris qui ont fait 129 morts, il a expliqué sur une radio militaire que "les Européens ont compris qu'il y avait un danger, mais les mesures qui auraient dû être prises ne l'ont pas été, comme par exemple un changement de la législation permettant les écoutes de terroristes potentiels".
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« Nous avions un projet d'attentat contre le Bataclan parce que les propriétaires sont juifs. » Cette phrase, glaçante au regard de la prise d'otages et du carnage qui aurait fait ce vendredi « une centaine de morts », selon des sources policières, a été prononcée dans les bureaux de la DCRI, en février 2011.
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