La salle d’audience du tribunal de district de New York était pleine à craquer, ce mercredi, pour l’ouverture du procès de l’assassin présumé de l’homme d’affaires juif orthodoxe Menachem Stark.
Une équipe d’archéologues vient de mettre au jour une construction ancienne qui était vraisemblablement utilisée à l’époque byzantine pour le bétail.
D’après des documents secrets révélés par un Russe qui avait fui la Russie soviétique, le chef de l’AP aurait travaillé pour le service de renseignement soviétique, le KGB, à Damas en 1983.
Des dizaines de touristes israéliennes, qui ont fait le voyage à Ouman en Ukraine pour aller prier sur la tombe de Rabbi Nahman de Braslav, ont vécu une aventure traumatisante au moment où elles devaient rentrer chez elles.
La foi que l’on accorde à des témoins comparaissant devant un Tribunal rabbinique est le garant d’une justice droite et équitable. La règle des « édim zomémim », évoquée dans notre paracha, s’inscrit dans la droite ligne de ce principe
L’une des obligations particulières au roi d’Israël consistait dans l’écriture d’un livre de la Torah : « Quand il occupera le siège royal, il écrira pour son usage, dans un livre, une copie de cette Torah, en s’inspirant des Cohanim, descendants de Lévi. Elle restera par devers lui car il doit y lire toute sa vie, afin qu’il s’habitue à révérer l’Eternel son D.ieu, qu’il respecte et exécute tout le contenu de cette Doctrine et les présents statuts » (Dévarim 17, 18-19).
Le ministre de l’Intérieur Arieh Dery, leader du parti Shass, a été interviewé mercredi matin sur les ondes de Radio Kol Haï. Il a alors exprimé très clairement son soutien au Premier ministre Binyamin Netanyahou.
Un député néerlandais a refusé de serrer la main de Netanyahou pendant sa visite à la Haye. Il s’est contenté d’incliner la tête et on pouvait voir sur le revers de son veston l’insigne du drapeau palestinien.
Le quarantième anniversaire de la Yeshiva Ateret Israël dirigée par le Rav Barouh’ Mordeh’ai Ezrahi a été marqué à Cracovie en Pologne par un grand dîner en présence de généreux donateurs et de bienfaiteurs de l’institution.
Le rabbin Daniel Ashour reconnaît qu’il s’est trompé. Il affirme aujourd’hui, après un examen approfondi de la question, qu’il s’est laissé abuser par le ‘roi Ayi’.
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