Une transaction immobilière
La parachath ‘Haye Sara commence par le récit des négociations qu’a menées Abraham en vue de l’acquisition de la caverne de Makhpéla, dont il voulait faire le lieu de sépulture de Sara.
La parachath ‘Haye Sara commence par le récit des négociations qu’a menées Abraham en vue de l’acquisition de la caverne de Makhpéla, dont il voulait faire le lieu de sépulture de Sara.
Eliézer met à l’épreuve la bonté de Rivka pour s’assurer qu’elle est digne d’être la femme de Its’hak. « Lorsque les chameaux eurent fini de boire, cet homme prit une boucle en or… » (Beréchit 24, 22) Rabbi ‘Haïm ben Attar remarque qu’il était superflu d’attendre que les chameaux eussent fini de boire…
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Comprendre les liens qui existent entre le Peuple Juif et le peuple d’Ichmael, tout est contenu dans cette Paracha.
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La paracha de cette semaine aborde plusieurs sujets intéressants: La rencontre des trois anges après la brith mila d’Avraham, la descendance de Machia’h avec Loth et la destruction de Sodome et Gomorre. Rav Roth-Lumbroso va tenter de nous faire comprendre, grâce notamment à Rachi, quel est le lien entre tous ces évènements.
En cette période automnale faisant suite aux intenses fêtes du Nouvel An hébraïque et du mois de Tichri, nous commençons à lire dans la Torah et son premier Livre Béréchit – l’aventure extraordinaire illustrant le cheminement spirituel et personnel de nos patriarches appelés « avot ». Des trajectoires faites de comportements exemplaires qui doivent nous inspirer nous-mêmes à chaque instant !
Il leva ses yeux, il vit, et voici trois hommes debout au-dessus de lui. Il vit, il courut à leur rencontre depuis la porte de la tente, et il se prosterna à terre. (18, 2)
On peut constater, depuis la « montée » d’Abraham à partir d’Our Kasdim vers Erets Yisraël jusqu’à l’épisode de la « ligature » d’Isaac, la persistance du nombre « trois ».
On le sait : la Torah qualifie Ichmaël de « Péré Adam », littéralement : « l’homme sauvage » (Béréchit, 16, 12). En réalité, ces deux qualificatifs sont l’expression de deux dimensions fondamentales caractérisant le premier fils d’Avraham Avinou.
Le point d’orgue de la Paracha est la « Akédat Its’hak », cette fameuse ligature du Patriarche que nous rappelons chaque jour au début de la prière, ainsi que dans les grandes occasions, à l’instar de Roch Hachana.
Faire le Bien n’est pas une chose aussi simple qu’il n’y paraît. Il s’agit d’un art, qui comprend ses propres règles. La conception du Bien dans la Thora est très opposée de celle des philosophes et des humanistes?
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