L’attachement de l’élève à son Rav par Rav Haim Chmoulevitch
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitch – Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitch – Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
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Suite à la conférence internationale de Paris sur Israël et la Palestine, Rav David Breisacher nous expose à travers cette conférence que le peuple juif a pu sortir d’Egypte en gardant son identité.
La plupart des communautés hassidiques, dont celles de Habad, observent, dans la nuit de lundi à mardi, 24 et 25 décembre, au cours de laquelle les Chrétiens célèbrent Noël, une ancienne tradition qui consiste à mettre de côté ce soir-là, à titre exceptionnel, les livres d’étude pour jouer aux échecs ou aux cartes.
Dans la bénédiction qu’accorda Yaacov à Zévouloun, le patriarche déclara : « Zévouloun occupera le littoral des mers, il offrira des ports aux vaisseaux et sa plage atteindra Sidon. » (Béréchit 49, 13).
Le 8, 9 et 10 Tévèt constituent trois jours de jeûnes. Toutefois, seul le troisième fut retenu comme « jeûne public » en souvenir du début du siège de Jérusalem par les armées de Nabuchodonosor. Or, le 9 correspond aussi au jour commémorant la mort du dernier des prophètes, Ezra. Et c’est le 8 Tévèt qu’eut lieu la traduction de la Torah en grec, la fameuse « Septante »…
Le jeûne du 10 Teveth est observé ce dimanche par les Juifs du monde entier. Il fait partie des quatre jeûnes commémorant la destruction du Temple.
Le dixième jour du mois de Tévet marque le début du siège de Jérusalem par Nabuchodonosor II qui s'achèvera par la destruction du Temple.
En 1950, le grand rabbinat a décrété, que ce jour-là on honorerait la mémoire de tous les Juifs massacrés par les Nazis pendant la Shoah dont on ignore la date de décès.
Le jeûne du 10 Teveth est observé ce jeudi par les Juifs du monde entier. Il fait partie des quatre jeûnes commémorant la destruction du Temple.
Lorsque Joseph se fit reconnaître par ses frères, il leur dit :אֲנִי יוֹסֵף הַעוֹד אָבִי חָי « Je suis Joseph ! Mon père vit-il encore ? » ( Berèchith 45, 3).
Cette question, Joseph la leur avait déjà posée la première et la deuxième fois qu’ils étaient venus en Egypte. Pourquoi cette fois-là encore ?
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz
Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Éditions Olam Hassefer
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