A l’issue de Yom Kippour, le Maguen David Adom a publié le bilan de cette journée où son intervention s’est avérée maintes fois indispensable. Il a indiqué que ses bénévoles ont dû s’occuper de 2 243 cas. ‘Ih’oud Hatsalah’ a précisé que ses volontaires ont traité 2 500 cas urgents.
Comme chaque année, une ambiance toute particulière règne en Israël en cette veille de Kippour. Tout est prêt pour accueillir cette journée de fête solennelle et des mesures exceptionnelles sont prises dans tout le pays.
Après avoir ordonné la fermeture du bureau de l’Olp à Washington la semaine dernière, l’administration Trump a annoncé son intention de ne pas renouveler les permis de séjour aux USA du chef de la délégation de l’Olp Husam Zomlot et des membres de sa famille.
A l’approche de Yom Kippour, le Maguen David Adom prend toutes ses dispositions pour être en mesure d’intervenir les plus efficacement possible dans tout le pays en cas d’urgence.
Comme chaque année, une foule immense s’est rassemblée au Kotel, vers minuit, pour participer aux Selihot organisées tout spécialement à deux jours de la fête solennelle de Kippour.
Malgré l’heure tardive, des milliers de personnes ont tenu à assister dans le Goush Etsion aux obsèques d’Ari Fould hy’d, lâchement assassiné dans la matinée, par un coup de couteau dans le dos, par un terroriste du village arabe de Yatta.
Un Israélien d’une quarantaine d’années a été poignardé à mort, dimanche matin, par un terroriste arabe à l’entrée du centre commercial du Goush Etsion. Il s’agit d’Ari Fuld hy’d, de la localité d’Efrat, marié et père de quatre enfants.
Les relations entre la Corée du Nord, soumise à la dictature de Kim Jong-un, et l’Autorité palestinienne, semblent au beau fixe. L’agence de presse MEMRI (Middle East Media Research Institute) a indiqué que Riyad Al-Maliki, chargé des relations extérieures de l’AP, s’est rendu récemment à Pyongyang pour participer aux célébrations du 70e anniversaire du régime nord-coréen.
Pour la première fois, un livre présentant l’argumentaire sur les droits d’Israël sur Jérusalem et la Judée-Samarie, a été édité par le ministère de Jérusalem et du Patrimoine.
Ce chant, composé par rav Mena’hem di Lonsano , érudit et poète du dix-septième siècle, nous invite à jouir des plaisirs de Chabbath : une bonne nourriture et de beaux habits. Il confronte également les interdictions qui lui sont applicables et les permissions dont il nous fait bénéficier. Le refrain, que nous répétons après chaque strophe, pose un problème de vocabulaire : « Pour nous délecter de délices, De barbourim , et de cailles et de poissons. »
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