« Olive » au singulier

La parachath Tetsawé commence par les mots : « Et toi, tu ordonneras aux enfants d’Israël qu’ils prennent vers toi une huile pure d’olive concassée pour le luminaire… » (Chemoth 27, 20).
Pourquoi ce verset emploie-t-il le mot « olive », au singulier, alors qu’il aurait été plus approprié, compte tenu de la quantité d’huile nécessaire à l’allumage de la menora, d’employer le mot « olives », au pluriel ?

La bénédiction sur la lune

Le Talmud enseigne : « Celui qui prononce la bénédiction sur la lune en son temps est considéré comme s’il accueillait la Chékhina comme il est dit : ‘Ha’hodech hazé’ [Ce mois-ci sera pour vous…], et il est dit par ailleurs : ‘Zé Kéli’ [Voici mon D.ieu] » (Sanhédrin 42/a).