Un rapport du contrôleur de l?état

La gestion de la Tombe de Rabbi Chimon Bar Yo’haï est déplorable

Ceux qui se sont recueillis, ces dernières années, sur la tombe de Rabbi Chimon Bar Yo’haï à Méron n’ont pas manqué d’être frappés par l’état précaire de ce lieu saint fréquenté, chaque année, par plus d’un million et demi de personnes. Un rapport du contrôleur de l’État confirme les carences existantes et propose d’améliorer au plus vite la situation.

Lorsque l?impossible devient possible

Si le miracle de ‘Hanouka semble se résumer à cette petite quantité d’huile qui se consuma huit jours au lieu d’un seul, les commentateurs relevèrent néanmoins de nombreuses interrogations à ce sujet. Voici donc l’une d’entre elles…

Un principe connu dans les lois sur l’impureté établit que lorsqu’un état d’impureté – supposé empêcher tout contact avec le Temple et les sacrifices – concerne une assemblée toute ent tière, celui-ci se voit « repoussé » en raison des besoins de la communauté, et de ce fait, il est alors permis de réaliser les différents services à l’intérieur du Temple en dépit de l’impureté en question. Par conséquent, il y a lieu de s’int terroger : pour quelle raison les ‘Hachmonaïm n’appliquèrent-ils pas cette règle afin d’allumer le Candélabre à l’aide de l’huile « impure » laissée par les Grecs dans le Temple, au point où un miracle devint indispensable ? Pour résoudre ce problème, il nous faut revenir au fondement même du « devoir de l’homme » en ce monde.

Hanouka : sept jours qui en font huit

Les quelques lignes suivantes sont extraites d’un discours du rav Aryé Leib Lopian, zatsal, ancien roch yéchiva de Gateshead, qu’il prononça au sein de sa prestigieuse institution le dernier ‘Hanouka de sa vie. Cette intervention a été récemment éditée dans un recueil intitulé « Néro Yaïr » et édité à la mémoire de rav Méïr Sebbag zatsal de Marseille.

 Au sujet du miracle de la fiole d’huile de ‘Hanouka, le Bet Yossef pose une question devenue très fameuse et à laquelle de nombreuses réponses furent proposées. En voici la teneur : pour quelle raison célèbre-t-on cette fête huit jours durant, alors qu’a priori, il semblerait que ce miracle ne porta que sur les sept derniers jours ? En effet, la consumation du premier jour ne fut en rien miraculeuse puisque la quantité d’huile devait suffire précisément pour un jour de consumation ! Alors pourquoi donc ces huit jours de ‘Hanouka ?