L’odeur des traitres
Au moment où Yaacov prit la
place de son frère Essav
pour recevoir les bénédictions
d’Its’hak son père, la Torah
nous relate qu’il s’enveloppa des
plus beaux vêtements de son aîné
qui étaient faits de peaux de chevreaux,
et ce afin d’éviter que son
père ne découvre son subterfuge.
Ainsi, lorsque Yaacov s’approcha
alors de son père, « Its’hak aspira
l’odeur de ses vêtements et il le bénit
: ‘Voyez, le parfum de mon fils
est comme le parfum d’une terre
bénie par l’Éternel’ ! », (Béréchit,
27, 27).