Haggada de Pessah : Matsa et Maror

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Rabbane Gamliel a enseigné:«Quiconque n’a pas prononcé ces trois mots à Pessa’h …..

Rabbane Gamliel a enseigné : « Quiconque n’a pas prononcé ces trois mots à Pessa’h n’est pas quitte de son obligation : Pessa’h, Matsa et Maror. »

« Pessa’h », car Hachem a sauté sur les maisons des enfants d’Israël pour les sauver de la plaie qu’Il avait infligée aux Egyptiens. Ce mot « sauté » signifie, en fait, qu’Il leur a permis de franchir une étape et d’être délivrés alors qu’ils ne le méritaient pas encore : Il les a élevés au-dessus de leur niveau spirituel réel. Ce dévoilement de la présence divine était plus important que leur niveau véritable. Les Bnei Yisrael ont réussi à franchir le grand saut et à se situer au palier nécessaire. Et c’est cette petite flamme d’authenticité qui existe chez chacun d’entre nous, flamme qui peut être comparée à la Matsa, laquelle ne comporte ni prétention, ni ambition, flamme qu’ils portaient en eux et qui leur a permis d’obtenir leur émancipation. Cette Matsa a donc été pour eux le pain de la liberté.

Pessah’ : La Hagada

Les enseignements de la Haggadah recèlent d’immenses trésors !
Voici donc quelques « joyaux » extraits de plusieurs grands commentaires pour enrichir votre « soirée du Séder »…

 « Même si nous étions tous des sages »

La Haggadah nous enseigne ici que même si nous étions tous des hommes « sages »,
« intelligents » et que « nous connaissions la
Torah », nous serions malgré tout tenus de
raconter en cette soirée l’histoire de la Sortie
d’Égypte. Mais que désignent ces trois expressions
de sagesse ?

Devinette : Tirez un boeuf !


Question de la semaine dernière :
Rachi commente presque dans les mêmes termes les deux versets, très ressemblants, de Chemoth 33, 2 et 34, 11.
Or, nous sommes habitués à une très grande concision des commentaires de ce Maître.

Pourquoi cette répétition, apparemment superflue ?         

Bedika des endives

Extrait de techouvot.com

Question

Désolée mais c’est un sujet très rarement abordé que la bedika (j’ai été ravie de connaître avec précision celle des fraises) et le sujet qui me tourmente le plus c’est la salade verte ou pas.
En particulier la laitue que j’évite soigneusement d’acheter ainsi que la batavia même à Pessah.
J’achète plutôt des endives mais je crains que ce soit pas plus simple malgré les apparences.

Pessah

Très souvent, la première pensée que Pessah éveille en nous concerne l’éducation des enfants.

En effet, aucun moment de l’année juive ne présente une richesse pédagogique comparable à celle de Pessah, avec son Séder, son interdiction du Hametz, sa Matza, son Maror et son délicieux Harosseth ; sans parler du Afikomen. Tout parle à l’enfant.

Parachath Tsaw et haftarath Chabbath ha-gadol





Parachath Tsaw 

Le

chalchéleth

dans la Tora

Le signe de cantillation appelé chalchéleth (« chaîne ») figure à quatre reprises dans la Tora (Premiers mots de Berèchith 19, 16 ; Berèchith 24, 12 ; Berèchith 39, 8 ; Wayiqra  8, 23) en relation avec Lot, Eliézèr, Joseph et Moïse.

Celui qui apparaît dans la parachath Tsaw est le dernier de la série : «  [Moïse] égorgea ( wayich?hat ), Moïse prit de son sang, il le mit sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron, et sur le pouce de sa main droite et sur le gros orteil de son pied droit.  »

Inauguration de la ‘Hourva

Inauguration de la ‘Hourva Alors que les dirigeants américains fustigeaient Israël pour avoir planifié la création de 1600 logement à Ramat Chlomo, des dizaines de milliers d’Israéliens ont participé aux festivités marquant la réouverture de l’impressionnante synagogue de la ‘Hourva. Ces festivités ont débuté dimanche 14 mars par une journée de limoud en présence de sommités rabbiniques telles que le rav Israël Meïr Lau et le rav Simha Hacohen Kook.