Communiqué important du consistoire de Paris

Le Beth Din de Paris vous informe qu’après vérification de la Direction de la Cacherout, il s’avère qu’ont été introduits par erreur, des boyaux d’agneaux non cachers dans les merguez fabriquées par la Société André KRIEF en Normandie.

Seules les merguez vendues à Paris et en région parisienne sont concernées.

C’est pourquoi, nous informons la communauté juive, que quiconque a acheté ces merguez et s’en est servi à chaud, doit impérativement faire une « Hagala » (cachérisation) de ses ustensiles (poêles, assiettes et couverts).

Nous avons immédiatement mis en place une série de décisions rabbiniques drastiques afin de garantir qu’un fait de cette gravité ne se renouvelle pas.

Le problème ne concerne que les merguez et en aucun cas la charcuterie ou les saucisses.

Dons d’énergie




C’est dans la paracha de Chéla’h-Lékha qu’est énoncé l’ordre de la Torah relatif
à la « ‘hala ». Ce terme, que l’on attribue généralement aux pains du Chabbat,
désigne en réalité l’un des dons parmi beaucoup d’autres que l’on offrait à la
tribu des Cohanim.

Il existe en effet une somme remarquable
de dons que la Torah
nous enjoint d’offrir à la
tribu des Cohanim – beaucoup
d’entre eux venant sous la forme
de « prélèvements » – s’élèvant
en tout, au nombre de 24 (Traité
talmudique ‘Houlin, page 133/b).
Parmi les plus connus d’entre eux,
il y a la « térouma » – c’est-à-dire
la dîme prélevée par ordre de la
Torah sur les céréales, les raisins
et les olives de la Terre d’Israël -,
les « Bikourim » – les prémices des
fruits de la terre que l’on apportait
chaque année au Temple –, ou enfin
celle dont il est question ici : la
« ‘Hala » prélevée sur la pâte destinée
à faire du pain. Ce prélèvement
doit être d’au moins 1/24e de
la pâte pétrie quand celle-ci s’élève
à un volume total d’environ deux
litres et demi. En fait, l’obligation
de ce prélèvement reste en vigueur
encore de nos jours, bien que les
Cohanim ne soient plus en mesure
de consommer ces morceaux
de pain, et – par ordre rabbinique
– elle s’applique en tout point du
monde « afin que le principe de la
‘hala n’en vienne pas à être oublié »
(Rambam, Hilkhot Bikourim, 5, 7).
Or ces différentes offrandes, parmi
plusieurs autres, ne sont imposées
par la Torah qu’en Eretz-Israël
seulement dans la mesure où,
semble-t-il a priori, ce devoir ne
s’applique que sur les produits de
la Terre sainte. C’est en effet en ces
termes que Maïmonide mentionne
le principe de ces dons : « 8 de ces
24 dons, les Cohanim ne pouvaient
les consommer qu’à l’intérieur du
Temple : (…) 5 dons à Jérusalem,
(…) 5 autres dons auxquels ils
n’avaient droit par prescription de
la Torah qu’en Eretz-Israël uniquement
– (…) la térouma, la téroumat
maasser, la ‘hala etc. », (ibid. 1, 3-
6).

Cercle et droite : l’unité d’Israël




Par le Rav Moshé Tapiero de

Si la fraternité définit la relation première et irréductible entre les 600 000 hébreux ce n’est pas au nom d’une origine commune ou du partage d’une même histoire. Les enfants d’Adam ne sont frères que pour autant qu’ils se constituent tous à partir du projet d’un Père, amont fondateur, position en hauteur que seul le Créateur peut occuper.

Dov Zerah conservera-t-il ses fonctions à l’ACIP ? non suite et fin ..


Nicolas Sarkozy s’apprête à confier l’un des
principaux instruments de la diplomatie française au président du
Consistoire de Paris.
Mais alors, Dov Zérah pourra-t-il conserver ses
responsabilités communautaires ?

Moins de six mois après son
élection à présidence du Consistoire de Paris (ACIP), Dov Zérah devrait
dans les prochains jours être nommé à la direction de l’Agence française
de Développement (AFD) par le président de la République, Nicolas
Sarkozy. Ce mardi, la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée
nationale devait d’ailleurs auditionner cet énarque de 55 ans. Pour ce

Devinette : Un chabbat en été

Question précédente : Quel est l’événement rapporté dans le Tanakh auquel ont participé trois cents animaux ?

Réponse : Samson a attaché des torches à trois cents renards et a ainsi incendié les champs des Philistins (Choftim 15, 4).

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Question : En été et en particulier dans les pays plus tempérés qu’Israël les jours sont très longs et la nuit tombe tard. Aussi récite-t-on le kiddouch du vendredi soir avant la tombée de la nuit. Cependant, il existe un cas de chabbath ordinaire (pas un jour de fête),au cœur de l’été, où l’on est obligé d’attendre la nuit pour réciter le kiddouch et où le dîner a lieu très tard. Quel est ce cas, dû à une coïncidence du calendrier, et parfaitement prévisible ?