De Gaulle, Israël et les juifs

Voilà quarante ans, le 9 novembre 1970, disparaissait le général de Gaulle, leader de la France Libre, fondateur de la Ve République et artisan de la grande fracture intervenue en 1967 dans les relations entre la France et Israël. A l'occasion de cet anniversaire, Hamodia propose un rappel historique sur les relations complexes entre de Gaulle, l'Etat d'Israël et le peuple juif. 

Agressions à Jérusalem

 Un groupe de jeunes gens de la ville de Guivataïm, près de Tel Aviv, est arrivé à Jérusalem et comptait se rendre à la rue Ben-Yéhouda pour s’asseoir à une terrasse de café. Mais il s’est égaré en chemin et est entré par erreur dans le quartier arabe d’Issawiya.

C’est au niveau du campus de l’université du Mont Scopus que les jeunes gens se sont trompés et ils se sont retrouvés finalement dans un secteur qu’ils ne connaissaient absolument pas.

Demandant à un jeune Arabe par où ils devaient passer,  ce dernier leur a répondu qu’il ne parlait pas l’hébreu et a appelé un adulte qui, au lieu de les aider, leur a indiqué une mauvaise direction. Les jeunes, en voiture, ont compris quelques instants plus tard qu’ils étaient tombés dans une embuscade.

Nethanyahou : Nous continuerons à travailler avec Obama

Israël n’a pas réagi officiellement aux résultats des élections américaines de mi-mandat mais selon certaines sources, on se réjouirait de la défaite infligée au parti democrate, du président Obama. Toutefois, dans l’entourage du Premier ministre, on tient à démentir ces rumeurs.
Dans un communiqué, les proches de Netanyahou ont tenu à souligner que ce dernier « œuvrait depuis des années pour renforcer les liens entre Israël et les Etats-Unis, que ce soit au Congrès, et au gouvernement américain ».

 

Débat parlementaire sur l’isolement d’Israël

Accédant à la demande de 40 députés, la Knesset a tenu mercredi soir un débat portant sur l’isolement d’Israël sur la scène internationale. Les députés de l’opposition ont dénoncé avec vigueur la politique étrangère du gouvernement de Netanyahou, l’interrompant sans cesse pendant son discours. Dans son allocution, Roni Bar On, de Kadima, a même reproché au Premier ministre de « forcer le président des Etats-Unis à perdre du temps et de l’argent pour le Proche-Orient ».