Rabbi El‘azar ben ‘Azarya
La Aggada de Pessa‘h fait une place de choix à rabbi El‘azar ben ‘Azarya, le premier à y avoir inscrit son nom (Michna Berakhoth 1, 5).
La Aggada de Pessa‘h fait une place de choix à rabbi El‘azar ben ‘Azarya, le premier à y avoir inscrit son nom (Michna Berakhoth 1, 5).
En effet, aucun moment de l’année juive ne présente une richesse pédagogique comparable à celle de Pessah, avec son Séder, son interdiction du Hametz, sa Matza, son Maror et son délicieux Harosseth ; sans parler du Afikomen. Tout parle à l’enfant.
Les dix plaies d’Egypte commentées et expliquées, juste pour aggrémenter vos soirées de Hol Hamoed !
L’une des parties de la Haggada les plus difficiles à comprendre est le chant connu sous le nom de Dayènou . Nous y affirmons que si Hachem nous avait fait sortir d’Egypte, mais n’avait pas jugé les Egyptiens, cela nous aurait suffi. De même, s’Il avait jugé les Egyptiens, mais n’avait pas détruit leurs idoles, cela aussi nous aurait suffi. Et ainsi de suite?
Lorsque, le premier soir de Pessah, nous nous installons à la table du SEDER, nous nous apprêtons à accomplir plusieurs commandements.
L’un des grands mérites de la psychiatrie moderne a été de découvrir que les problèmes rencontrés par les adultes résultent souvent d’un traumatisme vécu dans leur tendre enfance. C’est donc en les faisant parler qu’ils ont pris connaissance de ces événements « refoulés » qu’ils n’avaient pas pu intégrer ni classer dans leur conscient avec les leçons qui en découlaient. C’est ainsi que les uns et les autres ont été aidés à retrouver un certain équilibre.
La Tora présente la matsa comme un «pain de misère» ( léhem oni Devarim 16,3), et pourtant toute la fête de Pessah l’associe à la libération de nos ancêtres lorsqu’ils sont sortis d’Egypte.
Reflexion sur la fête de Pessah – par le Rav Dov Roth-Lumbroso: « on n’en découvre les bienfaits qu’à la fin »
Nos Sages instituèrent que l’on boive quatre coupes de vin ou jus de raisin au cours de la soirée du Séder, et imposèrent cette pratique aussi bien aux femmes qu’aux enfants ayant atteint « l’âge de l’éducation ».
La chanson de ‘Had gadya, par laquelle se termine la soirée de Pessa‘h, se situe dans cette partie de la Hagada que l’on ne commente que rarement, tant elle est chantée tardivement et à un moment où les convives, épuisés, n’ont qu’une hâte : prendre du repos.
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