Le chant « Dayenou »

L’une des parties de la Haggada les plus difficiles à comprendre est le chant connu sous le nom de Dayènou . Nous y affirmons que si Hachem nous avait fait sortir d’Egypte, mais n’avait pas jugé les Egyptiens, cela nous aurait suffi. De même, s’Il avait jugé les Egyptiens, mais n’avait pas détruit leurs idoles, cela aussi nous aurait suffi. Et ainsi de suite?

Savoir prendre conscience à Pessa’h

L’un des grands mérites de la psychiatrie moderne a été de découvrir que les problèmes rencontrés par les adultes résultent souvent d’un traumatisme vécu dans leur tendre enfance. C’est donc en les faisant parler qu’ils ont pris connaissance de ces événements « refoulés » qu’ils n’avaient pas pu intégrer ni classer dans leur conscient avec les leçons qui en découlaient. C’est ainsi que les uns et les autres ont été aidés à retrouver un certain équilibre.

Les quatre coupes de vin

Nos Sages instituèrent que l’on boive quatre coupes de vin ou jus de raisin au cours de la soirée du Séder, et imposèrent cette pratique aussi bien aux femmes qu’aux enfants ayant atteint « l’âge de l’éducation ».

Had Gadya

La chanson de ‘Had gadya, par laquelle se termine la soirée de Pessa‘h, se situe dans cette partie de la Hagada que l’on ne commente que rarement, tant elle est chantée tardivement et à un moment où les convives, épuisés, n’ont qu’une hâte : prendre du repos.