La Matsa, pain de misère ou pain de libération ?
La Tora présente la matsa comme un «pain de misère» ( léhem oni Devarim 16,3), et pourtant toute la fête de Pessah l’associe à la libération de nos ancêtres lorsqu’ils sont sortis d’Egypte.
La Tora présente la matsa comme un «pain de misère» ( léhem oni Devarim 16,3), et pourtant toute la fête de Pessah l’associe à la libération de nos ancêtres lorsqu’ils sont sortis d’Egypte.
Reflexion sur la fête de Pessah – par le Rav Dov Roth-Lumbroso: « on n’en découvre les bienfaits qu’à la fin »
Nos Sages instituèrent que l’on boive quatre coupes de vin ou jus de raisin au cours de la soirée du Séder, et imposèrent cette pratique aussi bien aux femmes qu’aux enfants ayant atteint « l’âge de l’éducation ».
La chanson de ‘Had gadya, par laquelle se termine la soirée de Pessa‘h, se situe dans cette partie de la Hagada que l’on ne commente que rarement, tant elle est chantée tardivement et à un moment où les convives, épuisés, n’ont qu’une hâte : prendre du repos.
Notifications