Une place au nom de François-Michel Saada, une victime du terrorisme
Ce vendredi 9 janvier 2015, François-Michel Saada n’avait qu’un seul pain. Pour fêter Shabbat, il lui en fallait deux. « Il n’allait jamais dans cet Hyper cacher.
Ce vendredi 9 janvier 2015, François-Michel Saada n’avait qu’un seul pain. Pour fêter Shabbat, il lui en fallait deux. « Il n’allait jamais dans cet Hyper cacher.
Mille trente-cinq élèves de Terminale issus de vingt-trois établissements scolaires sont en Israël depuis dimanche dans le cadre du voyage Bac Bleu Blanc de l’Agence juive.
Comme Donald Trump l’avait annoncé, la cuisine de la Maison-Blanche a été entièrement cachérisée par une équipe de « mashgih’im »
Quelques mois avant de quitter son poste, le président américain Barack Obama a invité des membres des familles Pérès et Wiesel à allumer avec lui la Hanoukia. Une cérémonie très symbolique vu la date choisie pour l’événement !
Amona, près d’Ofra, dans la région de Binyamin, est un sujet d’actualité qui préoccupe les medias en Israël. Depuis des semaines, les habitants de maisons de la localité, qualifiées d’illégales par la Cour suprême, craignent leur évacuation.
Né en Lituanie en 1847, il est le fils du rav et dayan de Kortovian, rav Chlomo Zalman Ziv. L’essentiel de son éducation lui est transmise par son père et, déjà enfant, il se distingue par ses talents et sa vivacité d’esprit. Très jeune, il rejoint la yéchiva de Kelm. Il est aussi le disciple de rav Its’hak Blazer et de rav Sim’ha Zissel Ziv.
Manger casher, respecter Chabbat ou se couvrir la tête peut être compliqué dans le monde professionnel en France. Mais entre mitsvot et carrière, les témoins rencontrés par Hamodia ont refusé de choisir. Eux ont réussi à surmonter les obstacles. Et demain ?
Les beignets de Hanouka (Soufganioth) indigestes ? C’est ce qu’affirme le ministre de la Santé Yaakov Lizman (Yaadout Hatora) qui recommande donc au public d’éviter d’en manger.
Certains poussent des hauts-cris, d’autres comprennent : le code vestimentaire imposé à la Knesset suscite des réactions parfois disproportionnées.
La commission parlementaire des Lois a adopté en seconde et troisième lectures un projet de loi visant à procurer une aide financière aux Avreh’im et aux étudiants des universités qui sont en difficulté.
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