Le jeûne d’Esther, jour International de la Femme Agunah

C’est le jour du je9ne d’Esther qui a été choisi par l’organisation de la Coalition Internationale des Droits de la femme Agunah (ICAR) pour marquer un jour spécial pour ces femmes dont on ne parle pas très souvent. Une femme Agunah est une femme dont le mari refuse de donner le get, c'est-à-dire le divorce religieux. Par conséquence, elle ne peut pas se remarier ou avoir des enfants. Si elle le fait toutefois, ses enfants seront considérés comme des mamzerim et ne pourront pas se marier normalement. Batya Kahana-Dror, une des présidentes d’associations présentes dans ICAR explique que Esther symbolise bien les femmes Agunoth. En effet, elle aussi a été prisonnière d’un mariage qu’elle n’avait pas choisi.
 

Pour que la lumière triomphe

Esther Cohen, co-directrice du mouvement loubavitch sur le campus de l’université de Burmingham en Angleterre, a appris le massacre de la famille Fogel à Itamar, par e-mail. Envoyé sur une liste de contacts, ce message a fait tilt. Comme tous ses amis, Esther ne savait pas comment exprimer sa peine et sa colère face à cet événement tragique. Tout ce qu’elle savait c’est qu’il fallait faire quelque chose, un geste, montrer que le peuple juif est uni par delà les frontières. Et il fallait le faire pour le mérite de ces 5 innocents lâchement assassinés et pour montrer sa solidarité avec les 3 orphelins qu’ils ont laissé derrière eux.
 

Libye : vers une intervention rapide

Les événements se sont accélérés concernant la Libye suite au vote jeudi soir d’une résolution par le Conseil de Sécurité de l’ONU en faveur d’un recours à la force contre les troupes du colonel Kadhafi. Cela veut clairement dire que le feu vert a été donné à l’utilisation de frappes aériennes en Libye. Mais maintenant ?