Interview du journal Hamodia : Nous oeuvrons sans relâche


Les Institutions Bnei Torah organisent leur gala annuel le mardi 16 juin
dans les Salons ‘Haya Mouchka, à Paris*. Internet, édition de livres,
chiourim, service téléphonique : la structure dirigée par le rav Dov
Lumbroso-Roth multiplie les initiatives : « Il est important d’utiliser tous les
vecteurs de communication pour faire connaître la Torah !»

Hamodia : Un second traité du Talmud
entièrement traduit en français
arrivera ces prochains jours dans les
librairies. Vous vous êtes beaucoup
mobilisé autour de ce projet. Satisfait
du résultat ?

Rav Dov Lumbroso-Roth : Très !
Le gala sera d’ailleurs tout particulièrement
l’occasion de présenter
le nouveau tome de la collection
Comprendre et Approfondir
la Guemara, des Éditions Bnei
Torah, portant sur le traité Ketoubot.
C’est une version entièrement
basée sur le limoud étudié dans les
yéchivot. En plus de la traduction
intégrale de la Guémara, de Rachi,
des Tossefot, on y trouve du Iyoun
(l’étude en profondeur du Talmud).
Elle s’adresse à tous : étudiants,
enseignants, ou plus simplement
quiconque souhaite étudier en profondeur
le Talmud.

Nouveau tome : Ketouvot




Prix spécial Internet du livre : 59 euros plus participation aux frais de port
Le livre pèse 2,3kg !!
Pour tout renseignement télépnoner au 0619591484 ou au 0142404805

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livraison sous 48h par un coursier 5 euros
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Pour Israel 249 sh + 30 sh de frais de port
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De grâce, guérit la!


Si le thème de la prière comprend de nombreux chapitres – notamment celui
relatif aux prières quotidiennes ou à celles que l’on prononce sur les tombes
de Justes –, notre paracha de Béhaalotekha parle d’une catégorie revêtant
une importance particulière : il s’agit des prières que l’on prononce pour la
guérison d’une personne malade.

Dans les derniers versets de
notre paracha, la Torah
relate que Myriam et Aharon
proférèrent des paroles de médisance
à l’encontre de leur frère
Moché. Suite à ces propos, D.ieu
s’emporta contre eux et frappa
Myriam de « tsaraat » (une grave
maladie de la peau) en punition
pour ses propos malveillants. Implorant
le pardon divin, Moché
se tourna alors vers D.ieu en suppliant
: « De grâce, Seigneur, guéris-
la, de grâce ! ».

De l’éternité d’Israël


COMME L’INDIQUE le Maharal
de Prague dans la première
partie de son livre
« Netsa’h Israël », l’exil de notre
peuple provoqué par la destruction
du Temple de Jérusalem ne
saurait atteindre son terme tant
que, premièrement, le peuple
juif n’aura pas encore réalisé sa
vocation ; deuxièmement, dans
la mesure où il reste dispersé
à travers les nations ; et enfin,
tant qu’il se trouve sous la domination
politique d’une législation
contraire aux lois de la
Torah…

Du virtuel au réel


Le premier anniversaire de la
Sortie d’Égypte a été marqué
dans le désert par le « korbane
Pessa’h « – le sacrifice pascal.
On sait que pour tout sacrifice,
il faut être en état de pureté.
Voilà pourquoi les hommes qui
n’étaient pas purs sont venus demander
à Moshé l’autorisation
d’offrir malgré tout le korbane
Pessa’h.

En fait, c’est bien à leur intention
que Hachem a promulgué la loi de
« Pessa’h Chéni » – le deuxième
Pessa’h : au lieu du 14 Nissan, ce
serait le 14 Iyar que le « korbane
Pessa’h » serait offert par ceux
qui étaient en état d’impureté à la
date du 14 Nissan.