Roch hachana, jours de joie ou jours de jugement ?
Roch hachana, jours de joie ou jours de jugement ?
Il est rapporté dans le Tour (ouvrage halakhique du quatorzième siècle dont s’est inspiré l’auteur du Choul‘han ‘aroukh) que l’on doit, la veille de Roch hachana, se comporter comme on le fait en une veille de fête : On s’y prépare dans la joie, on revêt de beaux habits, on se fait couper les cheveux…
Comment concilier cet enseignement avec celui selon lequel on doit s’attendre, ce jour-là, à être incessamment jugé ? Pourquoi devons-nous tant nous préoccuper de notre aspect extérieur ?


