Emmanuel : la petite ville déclanche une crise nationale
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Question précédente : De quel texte talmudique s’est inspiré La Fontaine dans sa fable « Le chêne et le roseau » ?
Réponse : Sanhédrin 105b-106a : A‘hia le Chilonite a maudit Israël en le comparant à un roseau, ainsi qu’il est écrit : « Hachem frappera Israël comme quand le roseau est agité dans les eaux… » (I Rois 14, 15).
Le roseau se trouve au bord de l’eau, et sa tige repousse [si on la brise]. Il a beaucoup de racines, il résiste à tous les vents du monde, et il se retrouve à sa place dès qu’ils se sont calmés. Tandis que l’impie Bil‘am a maudit Israël en le comparant au cèdre (« Elles s’étendent […] comme des cèdres sur les eaux » [Bamidbar 24, 6]) : Arrive le vent du sud, il le déracine et le cèdre se retourne les racines en l’air…
Question : D’où sait-on qu’il est permis de se défendre les armes à la main contre un ennemi qui nous attaque sous le soutien d’un « bouclier humain » ?
DétailsA la suite du comportement hostile de la
Turquie, deux grandes chaînes israéliennes de supermarchés ont annoncé
qu’elles ne renouvelleraient pas leur très important stock assez
conséquent de marchandises » made in Turkey « .
Les parents concernés seront envoyés en prison pour avoir systématiquement refusé de se plier à une décision de la Cour concernant les divisions ethniques opérées dans l’école Beit Yaacov. L’un des manifestants, un séfarade, a pris la parole, jeudi : « Hier, mon fils a dit à ma fille que son père allait en prison à cause d’elle. Je l’ai embrassé et lui ai dit que ce n’est pas ‘à cause’ de ma fille, mais ‘grâce à’ ma fille que je vais en prison. C’est une occasion pour nous de sanctifier Dieu. »
Manifestation sans violences
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Plus de 100 000 manifestants orthodoxes se sont rassemblés jeudi, en début d’après-midi, dans le centre de Jérusalem pour protester contre la décision de la Cour suprême concernant l’école Bet Yaakov de la localité d’Emmanuel. A Bné Brak, ils étaient près de 50 000 à exprimer leur indignation avant de se disperser.
Ils ont tous pris la défense des parents d’élèves, au nombre de 83, qui risquent la prison pour ne pas s’être pliés aux décisions de la justice en refusant d’envoyer en classe leurs filles, après l’annulation des critères de sélection dans l’établissement scolaire où elles étudiaient.
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