La définition de la vie selon la Torah
Comment déclencher un flux de vitalité, et de beraha (bénédiction) dans nos maisons
Comment déclencher un flux de vitalité, et de beraha (bénédiction) dans nos maisons
Il est écrit ( Wayiqra 16, 2) que Aaron ne doit pas « entrer à tout moment dans le sanctuaire ». Cette expression semble interdire sa présence permanente, mais permettre des visites occasionnelles. Or, le kohen gadol ne peut entrer dans le sanctuaire qu’une seule fois par an, le jour de Yom Kippour . Pourquoi une formulation aussi imprécise ?
Cours audio sur les Parachiot Tazria Metsora par le Rav Dov Roth-Lumbroso
La parachath Tazria commence par les mots : « Icha ki tazria » (littéralement : « une femme, lorsqu’elle ensemencera »).
La similitude de la conduite de Nadav et d’Avihou, fils d’Aaron, qui ont « présenté un feu étranger devant Hachem » ( Wayiqra 10, 1) et qui ont été aussitôt foudroyés, suggère qu’ils ont pu être des jumeaux. On sait en effet que les jumeaux pénètrent les pensées l’un de l’autre et qu’ils se comportent souvent de façon similaire.
Le plus sage d’entre les hommes déclare : « Retourne [la Torah] dans tous les sens, elle t’élèvera », (Proverbes, 4, 8). Selon Rachi, d’après le Talmud (Méguila, page 18/a), cela signifie que l’homme doit « creuser » et retourner la Torah dans toutes les sens pour y découvrir ses merveilles.
[youtube id= »68d5tGJpLDo » width= »358″ height= »202″ autoplay= »no » api_params= »rel=0&modestbranding=1″ class= » »][/youtube] Adar, bon mazal ou mauvais mazal ? Pour comprendre la fête de Pourim qui approche. Cours vidéo du Rav Dov Roth-Lumbroso.
La Paracha Vayikra (1, 1) s’ouvre sur ces mots : « Il appela Moché et D.ieu lui parla de la tente d’assignation pour lui dire ». Commentant ce verset, le Midrach (Torat Cohanim, 1, 4) enseigne : « ‘De la tente d’assignation’ : cela nous apprend que le son de la voix s’arrêtait et ne sortait pas en dehors de la tente. Est-ce parce que le son de la voix était faible ? Non, car le verset précise : ‘La voix’, (Bamidbar, 7). Or, de quelle voix s’agit-il ?
La paracha nous apprend, à propos de la plaque ( tsits ) dont était revêtue la tiare du kohen gadol : « Ils firent la plaque, diadème de la sainteté d'or pur, et ils écrivirent sur elle une écriture en gravures de cachet : ?Sainteté pour Hachem ? » ( Chemoth 39, 40). Pourquoi est-il écrit : « ils écrivirent », au pluriel, alors qu'il aurait été plus logique d'employer le singulier : « il écrivit » ?
L’épisode du Veau d’or est rempli de zones d’ombres. Comment envisager que, quelques semaines seulement après le Don de la Torah, les enfants d’Israël aient pu se compromettre dans une idolâtrie aussi grossière ? Les commentateurs s’évertuèrent de résoudre cette énigme…